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« Derrière son apparente simplicité, ce monologue saisit par sa richesse. Des noms de ses comparses imaginaires aux actions qu’il les fait mener, Boris tisse un conte d’une rare poésie, où tout s’entremêle et fait jaillir une langue nouvelle. Nous saisissons à la volée quelques épiphanies synonymiques mais ce n’est qu’une partie de tout ce qu’il y a à entendre, et de toutes les subtilités à décortiquer. On se laisse dérouter avec enthousiasme par ce soliloque aussi poignant qu’astucieux. »

Émilie Ade et Marguerite de Hillerin - REVUE PLEIN FEUX

 

« Avec régie dans le frigo et accordéon en bandoulière, la séance de karaoké est tordante. Et il en a d'autres, des délires ! Entre silence lourd du début, son interprétation très personnelle de chansons populaires et son débit impressionnant de sous-chef animant une armée de fantômes, Olivier Debelhoir épate par son sens du rythme et son art maîtrisé du clown »

Léna Martinelli - LES TROIS COUPS

 

« Avant de se faire voler la vedette dans un final gonflé et savoureux qui finit de donner toute sa densité au spectacle. Le public rit aux éclats, mais certains regards sont émus. Car ce personnage délirant est plus profond qu'il n'y paraît. Boris a beau s'adresser à la foule qui l'entoure, il est définitivement bien seul ».

LA DÉPECHE

 

« C'est que Boris est un peu dans sa yourte comme dans le ventre de sa mère : il y règne en maître et se complaît dans une naïveté largement influencée par les séries B, les films catastrophes et les westerns spaghettis. »

Anaïs Heluin POLITIS

« Olivier Debelhoir revisite ainsi de fond en comble l’imagerie du trappeur. Soi-disant à la tête d’une bande de bras cassés perdus dans une montagne, en proie à une invraisemblable hécatombe, son Boris s’agite. Et de la fiction, naît le cirque. »

Anaïs Heluin LA TERRASSE

« Ce funambule égaré sur le plancher des vaches tient l'équilibre. Et file une ligne artistique d'une grande justesse, sans jamais s'engluer dans le passéisme »

Mathieu Braunstein STRADA

« Les agrès sont tout à la fois paroles ou planches et c’est en proportion, sur la performativité du langage, que se niche le cirque. D’une grande sensibilité, remarquablement écrit et truffé de références éclectiques (de Buster Keaton à André Bézu, auteur de « À la queuleuleu »), cette création apparaît comme une juste suite à son précédent spectacle. »

Sophie Puig - MOUVEMENT

 

« Cette histoire ineffable d'une solitude pesante trouve heureusement une issue tout aussi inattendue que la présence d'une yourte dans une salle des fêtes. Une sortie solaire que seule la magie du cirque peut nous offrir. »

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